• La
relation rythmique (dialogue) efface l'espace ou en tout cas en
diminue la perception.
• Travailler sur différents
niveaux de présence plutôt que de rentrer et sortir. Etre là en
silence ou en écoute ou en présence...
• Pour articuler les différents
éléments entre eux (son, mouvement, mots, espace …) il faut
être conscient du début et de la fin d'une action. Essayer de se
limiter à une action...qui correspond à un mot ou expression
écrite. Quand on a fini de jouer ce mot, s'arrêter ou dévier sur
un autre mot mais avoir conscience des débuts et des fins...
articuler.
• Obligé de faire avec la
musique présente mais danser le mot qu'elle à fait apparaître et
ne pas danser sur la musique.
• Comment on va dans un mot ?
- Par auto-hypnose ? Les mots rentrent dans le corps ? Les images qu'ils transportent ? Sans illustrer ?...auto-hypnose...
- Par auto-hypnose ? Les mots rentrent dans le corps ? Les images qu'ils transportent ? Sans illustrer ?...auto-hypnose...
• Etre poreux
• Il s'agit ensemble de fabriquer
un univers commun et singulier.
• Se dessine la carte d'un
possible paysage ou une sorte de rébus dont chaque spectateur
échafaude la solution. L'univers apparaît par accumulation et
association.
• On
partage un monde qui se construit et se détruit à chaque performance.
• Pas de
« front of reference »
• Quand on
écrit sur le sol, on est dans un autre niveau de présence, j'adresse de ce que j'écris à
un lecteur potentiel... déplacement de « l'adresse »
dans la trace. La trace conserve l'adresse de l'action après que
l'acteur soit ailleurs.